mai 8

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Oui comment arrêter de boire ? Tu connais ce moment… la journée a été longue, t’as géré des trucs au taf, des embrouilles à la maison, ou juste un de ces jours où tout t’épuise. Et là, tu t’offres un verre. Un petit apéro. Un “j’en ai bien mérité un”. Tu crois que ça va t’aider à souffler. Tu crois que ça t’aide à te détendre.

Mais si on regardait ça d’un peu plus près ?

Moi aussi, j’ai longtemps cru que l’alcool m’aidait à tenir. Que c’était une façon de relâcher la pression. En vrai, ce que je faisais, c’était fuir. Je fuyais ce que je voulais pas voir. Ce que je voulais pas ressentir. Ce que je voulais pas affronter.

Et toi, peut-être que c’est pareil. Peut-être que tu sens confusément que t’as mis ta vie en pause. Que t’avances pas comme tu voudrais. Et que ce verre du soir est devenu moins un plaisir qu’une stratégie d’évitement. Moi, je vais pas te dire quoi faire. Je vais juste te raconter ce que j’ai vécu, ce que j’ai compris, et comment j’en suis sorti.

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Pourquoi on croit que l’alcool détend (et pourquoi c’est faux)

Tu sais ce qui est vicieux avec l’alcool ? C’est que ça “marche”… mais seulement au début.

Un verre, et hop, tu sens ton corps se relâcher, ton esprit ralentir. Et tu te dis que ça y est, t’as enfin un moment à toi. En fait, ce que tu ressens, c’est ton système nerveux qui est mis en pause. L’alcool agit comme un anesthésiant. Il freine ton cerveau, apaise ton anxiété sur le moment. Mais à quel prix ?

En vrai, à chaque fois que tu bois, tu perturbes ton système de régulation naturel. Tu surstimules ta dopamine, cette fameuse molécule du plaisir. Le souci, c’est que ton cerveau, lui, n’est pas fait pour gérer un shoot aussi violent.

En temps normal, ton taux de dopamine monte à 90 quand tu fais l’amour, ou quand tu savoures un super repas. L’alcool, lui, peut faire grimper ça à 200. Ça te donne une fausse impression de bien-être… suivie d’une vraie descente.

Et là, tu vois peut-être où je veux en venir. Tu crois que l’alcool t’aide à te détendre, mais en vrai, il dérégle ton système nerveux, il affaiblit ta capacité à gérer les tensions naturellement. Et le lendemain ? Tu te réveilles plus fatigué, plus stressé… alors tu remets ça.

Ce cercle vicieux, je l’ai vécu. Il est sournois, parce qu’il se construit lentement, sans bruit. Mais il finit par te voler ta vitalité, ton énergie, ta clarté mentale. Alors comment arrêter de boire ?

Quand boire devient une stratégie de procrastination (et pourquoi c’est si courant)

C’est là qu’on entre dans le vif du sujet : la procrastination.

Tu vois, moi, je croyais que je procrastinais parce que j’étais fainéant. Que j’avais pas assez de volonté. Mais non. En creusant, j’ai compris que je buvais pour retarder le moment où j’allais devoir faire face.

Je repoussais tout ce qui me demandait de l’effort : avoir une vraie conversation avec ma compagne, prendre une décision pour mon boulot, m’occuper de mes finances… ou juste affronter un mal-être intérieur.

L’alcool, c’était mon bouton “pause”. Je ne gérais pas mes problèmes, je les remettais à demain. Et puis le lendemain, devine quoi ? J’étais encore plus à plat. Alors je rebuvais. Et ainsi de suite.

C’est ça, le piège. Tu crois que tu procrastines un mail, un coup de fil, un dossier. En vrai, tu procrastines ta vie. Tu fuis les décisions importantes. Tu laisses tes projets en friche. Et au fil du temps, ça t’épuise moralement.

La dépendance à l’alcool, dans ce contexte, elle n’a rien d’un manque de force de caractère. C’est souvent une stratégie mal calibrée pour gérer l’anxiété, l’inconfort, la peur de l’échec. Ton cerveau cherche une échappatoire. Et comme l’alcool fait baisser la pression… tu choisis ça, encore et encore.

Je vais pas te mentir : comprendre ça m’a mis une claque. Mais c’était aussi un tournant. Parce que quand tu vois enfin que tu n’es pas paresseux, que tu es juste en fuite, tu peux commencer à agir autrement.

Ce que l’alcool fait à ton cerveau (et pourquoi c’est une arnaque dopaminergique)

Ton cerveau, il adore les raccourcis. Et l’alcool, c’est le plus séduisant de tous. Tu le prends, et hop, un shot de dopamine. Tu te sens bien… jusqu’à ce que tu ne le sois plus.

Mais au fil du temps, ton cerveau comprend le truc. Il se dit : “Si j’ai de la dopamine en bouteille, pourquoi m’embêter à en produire moi-même ?” Résultat : tu produis moins de dopamine naturelle. Et sans ton verre du soir, tu ressens plus rien. Tu perds l’élan, la motivation. La vie devient terne. Tout devient une corvée. Tu procrastines encore plus.

Et le pire ? C’est que plus tu bois, plus tu dérègles ton système. Moins tu ressens de plaisir naturellement. Tu deviens accro à ce qui t’anesthésie. Ton système nerveux, au lieu de se réguler, se grippe. Et petit à petit, tu perds confiance en toi.

Je l’ai vécu. Ce moment où tu ne sais plus pourquoi rien ne t’enthousiasme. Tu crois que t’es déprimé. Mais t’es juste déconnecté de ton propre système. Et ça, ça se répare. Mais ça prend du temps.

Le vrai problème, c’est pas l’alcool. C’est ce qu’il cache.

Tu vois, l’alcool, ce n’est jamais juste une question de boisson. Ce n’est pas juste un apéro qui a un peu dérapé ou un verre de trop au dîner. C’est souvent un moyen — parfois le seul qu’on a trouvé — pour mettre un couvercle sur ce qu’on ne sait pas gérer autrement. Une fuite. Un réflexe. Un anesthésiant.

Moi, quand j’ai enfin posé mon verre, je m’attendais à sentir un vide. En fait, j’ai été submergé. Submergé par des années de fatigue mentale que j’avais jamais prise au sérieux. Submergé par des doutes que j’avais repoussés sous le tapis. Des trucs enfouis, que l’alcool m’avait permis de mettre en pause… sans jamais vraiment les éteindre.

Et surtout, cette question-là : “Pourquoi je suis pas bien alors que j’ai tout pour aller bien ?” Tu la connais, cette question ? Celle qui surgit dans le calme, quand le bruit de l’alcool s’éteint. Celle que tu repousses avec un “allez, je prends juste un verre pour souffler”.

La vérité, c’est que beaucoup de personnes qui cherchent comment arrêter de boire se rendent vite compte que la question ne porte pas que sur l’alcool. Elle porte sur tout ce qu’il masquait. Sur les blessures non cicatrisées. Sur les attentes déçues. Sur le stress chronique qu’on empile depuis des années.

Parce que oui, comment arrêter l’alcool, c’est pas juste planquer les bouteilles ou dire non à un apéro. C’est apprendre à vivre sans anesthésie. C’est accepter de ressentir à nouveau. D’avoir des émotions qui piquent. Des pensées qui dérangent. C’est ça, le vrai boulot.

Et ce boulot-là, on ne te le dit pas toujours quand tu tapes “comment arrêter de boire” sur Google. On te parle de méthodes, de calendriers, de sevrage. Mais rarement du tsunami émotionnel qui peut arriver quand tu éteins enfin le robinet de l’évitement.

L’alcoolisme : un système de survie

Moi, ce que j’ai découvert, c’est que l’alcoolisme, c’est souvent un système de survie. Un bricolage psychique qu’on met en place parce que, à un moment de notre vie, on n’a pas eu mieux. Pas plus d’outils, pas plus d’écoute, pas plus de mots.

Alors oui, c’est dur. Oui, ça fait flipper. Mais c’est aussi le début de la reconstruction. Parce que quand tu commences à regarder en face ce que tu fuyais… tu commences à guérir. Tu récupères ton énergie. Ta lucidité. Ton libre arbitre.

Et tu sais quoi ? C’est souvent là que les vraies solutions émergent. Celles qui vont au-delà du simple “j’arrête”. Celles qui répondent à la vraie question : “Comment arrêter l’alcool sans me sentir vidé, frustré ou incomplet ?” Et surtout : comment arrêter de boire sans avoir l’impression de perdre une béquille indispensable.

Tu veux un début de réponse ? Commence par t’autoriser à regarder ce qu’il y a dessous. Pas pour t’enfoncer. Mais pour remonter à la surface. Avec une nouvelle force.

La vraie liberté commence quand t’as plus besoin de fuir

Tu sais, pendant longtemps, j’ai cru que me libérer de l’alcool, c’était juste arrêter d’en consommer. Poser le verre, dire non aux soirées, éviter les rayons boissons au supermarché. En fait, ce que j’ai compris, c’est que comment arrêter l’alcool, c’est beaucoup plus profond que ça.

On ne se libère pas de l’alcool simplement en supprimant une habitude. On s’en libère quand on n’a plus besoin de cette béquille. Quand on trouve d’autres façons de réguler le stress, de canaliser l’ennui, d’apaiser cette petite voix qui dit “j’en peux plus”. Parce que oui, cette voix-là, elle revient souvent quand tu cherches comment arrêter de boire. Et si t’as rien pour la calmer autrement, tu craques. Normal.

Alors moi, j’ai fait simple. J’ai commencé petit. Pas de grand plan miracle. Juste des micro-ajustements. J’ai recommencé à faire du sport, même si c’était 10 minutes dans mon salon. J’ai remis des heures fixes pour dormir. J’ai arrêté le café à 14h (oui, c’est dur, mais ça change tout). Et j’ai changé ce que je mangeais, pas pour devenir un ayatollah du bio, juste pour redonner un peu de carburant propre à mon système nerveux.

Et surtout, j’ai appris à écouter mon corps. J’ai découvert la cohérence cardiaque — un truc tout bête avec la respiration, mais qui m’a fait un bien fou. J’ai commencé à méditer. Et là encore, pas besoin de s’asseoir en tailleur pendant une heure. Parfois 5 minutes, avec juste une appli ou une vidéo. Et tu sais quoi ? Ça m’aidait plus qu’un verre.

Parce que le vrai secret, quand tu veux vraiment comprendre comment arrêter l’alcool, c’est pas de résister en serrant les dents. C’est de reconstruire. Refaire ton équilibre. Réparer ton rapport au plaisir. Retrouver des sources de dopamine naturelles. Celles qui ne te volent pas ton énergie le lendemain.

Et oui, ça prend du temps. Oui, au début, c’est inconfortable. Parce que tu passes de l’instantané (un verre = soulagement immédiat) à un processus plus lent, plus durable. Mais franchement ? C’est là que j’ai senti la vraie liberté.

Comment arrêter l’alcool ?

Tu veux savoir comment arrêter de boire sans vivre ça comme une punition ? Commence par remplir ton quotidien de choses simples qui te font du bien. Des routines, des rituels, des moments de calme. Même les petits plaisirs bêtes : une douche chaude, un bon film, un appel à un pote, un vrai repas. Tout ce qui dit à ton corps : “T’as pas besoin d’alcool pour te sentir bien.”

Et le plus dingue, c’est que ton cerveau, au bout de quelques semaines, commence à s’y habituer. Il recommence à produire de la dopamine à son rythme. Ton système nerveux se régule. Tes envies diminuent. Et tu te rends compte que t’avais pas besoin de fuir, t’avais juste besoin de réparer.

Alors oui, je le répète : comment arrêter l’alcool, c’est pas une ligne d’arrivée. C’est un chemin. Un processus. Et ce chemin, il mène pas juste à l’abstinence. Il mène à un truc bien plus précieux : ta liberté. Celle de ressentir sans paniquer. De vivre sans anesthésie. D’être présent à ta vie, sans filtre.

Et franchement ? Même avec les hauts et les bas, même avec les jours durs… ça valait cent fois le coup.

Et maintenant, toi ?

Si t’en es là, c’est que ça t’a parlé. Peut-être que tu t’es reconnu dans ce que j’ai raconté. Dans ce verre qu’on prend “juste pour souffler”. Dans cette fatigue mentale qu’on enterre. Peut-être que toi aussi, tu sens que tu repousses plus que tu n’avances. Que tu procrastines, mais pas juste pour un dossier ou une corvée. Non, tu repousses des décisions de fond. Des remises en question. Des choix importants.

Et tu sais quoi ? C’est normal. Moi aussi, j’ai mis du temps à voir que je m’éteignais doucement. Pas d’un coup. Mais lentement, à force de fuir l’inconfort avec de l’alcool.

Alors non, je vais pas te dire “faut que t’arrêtes tout demain”. Je suis pas là pour ça. Je suis pas un gourou, ni un médecin. Juste un gars comme toi, qui s’est un jour demandé comment arrêter de boire sans se sentir puni, sans perdre sa vie sociale, sans devenir l’ermite du coin.

Et la réponse, c’est pas dans une solution magique. C’est dans un premier pas. Parce que comment arrêter l’alcool, ça commence pas par une abstinence stricte. Ça commence par une prise de conscience. Par un “ok, j’en peux plus de vivre comme ça”. Et ce moment-là, si tu le vis, il est déjà énorme.

Ensuite, tu peux tester. Un jour sans boire. Puis un autre. Observer ce que ça change. Et peut-être, petit à petit, tu vas voir émerger un nouveau rythme. Un truc plus aligné avec ce que tu veux vraiment.

Tu vas peut-être taper “comment arrêter de boire” sur YouTube. Lire des forums. Télécharger des applis. Te dire que c’est galère, que t’es nul… mais t’es pas nul. T’es juste au début du chemin. Et ce chemin, je le connais. Je le marche encore, jour après jour. Et franchement, même quand c’est dur, j’ai jamais regretté d’avoir commencé.

As-tu besoin d’aide pour arrêter de boire ?

Et si t’as besoin d’un coup de pouce, si t’as envie de savoir comment je m’y suis pris concrètement et comment j’ai fait pour arrêter de boire, sache que je suis là pour ça. Pas pour te dire quoi faire. Mais pour t’écouter, te comprendre. Parce que moi aussi j’ai cherché comment arrêter l’alcool en douce, sans oser en parler. Et parce qu’un jour, quelqu’un m’a tendu la main, j’ai envie de faire pareil pour toi.

Tu veux juste quelqu’un qui t’aide à y voir plus clair ? Qui te parle sans te juger ? Je suis là. Tu peux me lire. Tu peux me répondre. Tu peux commencer aujourd’hui. Ou demain. Mais souviens-toi d’un truc : t’es pas seul. Et tu peux vraiment vivre autrement.

Prochaine étape

Tu veux un résumé de tout ça ? J’ai préparé une fiche avec les points clés de la vidéo. C’est offert, c’est clair, c’est pratique. Tu peux la télécharger ici . Garde-la, relis-la quand t’en as besoin.

Et si t’as envie d’aller plus loin, y’a pas de honte à demander de l’aide.

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Arrêter l'alcool, fuite, procrastination


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