août 22

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Interview : Coach de sobriété

Cet article est issu d’une interview que j’ai donnée récemment sur mon métier de coach de sobriété. Tu peux d’ailleurs la voir ici si tu préfères la version vidéo : Regarde l’interview complète sur YouTube.

Si je partage tout ça aujourd’hui, c’est parce que je sais que tu peux te reconnaître dans certaines parties de mon histoire. Peut-être que tu ne bois pas comme moi je buvais, peut-être plus, peut-être moins. Mais ce sentiment de ne pas être totalement libre, cette impression que l’alcool a pris un peu trop de place… ça, je crois que tu le connais.

Tu sais, on parle souvent d’“arrêter l’alcool”, de “se libérer de l’alcool” ou de “sortir de l’alcoolisme” comme si c’était réservé aux personnes qui boivent du matin au soir. Mais la réalité est différente : il suffit que ta consommation ne te convienne plus pour que tu sentes que quelque chose doit changer.

C’est exactement ce que j’ai vécu. Et c’est pour ça que j’en parle aujourd’hui : pour te montrer que oui, c’est possible.

SI tu veux arrêter de boire, mais pas seul(e), suis ce lien et on en parle : https://link.go.unansansalcool.com/bilan

Comment l’alcool est entré dans ma vie

Moi, je n’ai pas grandi avec l’alcool. Avant mes 33 ans, ce n’était pas un sujet. Et puis un jour, tout a changé. Avec mon ex-femme, nous avons repris une entreprise. Du jour au lendemain, je suis passé de salarié à chef d’entreprise. Et avec cette nouvelle vie sont arrivées les responsabilités, la pression, le stress.

Le soir, pour souffler, je me suis mis à boire un verre de vin. Peut-être que toi aussi, tu connais ce rituel du soir : ce moment où tu te dis que tu l’as bien mérité, que tu veux juste te détendre, couper la journée.

Au début, ça paraît inoffensif. Mais ce fameux “juste un verre” devient vite deux, puis trois. Et sans qu’on s’en rende compte, ce n’est plus un choix, c’est devenu une habitude. Une nécessité.

Le piège invisible de l’alcool

C’est là que je me suis retrouvé pris dans un cycle que tu connais peut-être toi aussi :

  • Le besoin de boire pour se détendre.
  • La difficulté à tenir plus de quelques jours sans.
  • Les promesses qu’on se fait : “demain, j’arrête.”
  • Et la culpabilité quand on reprend.

Dis-moi si ça t’arrive aussi : ces négociations avec toi-même, ces petits deals intérieurs, comme si l’alcool avait son mot à dire dans tes décisions. Moi, j’ai joué à ce jeu-là pendant des années. Et j’en sortais toujours perdant.

C’est ça, le piège de l’alcool : il s’installe doucement, sans prévenir, jusqu’à ce que tu réalises que c’est lui qui décide, pas toi.

Les premiers signes de l’addiction qui ne trompent pas

J’ai longtemps refusé de voir la réalité en face. Comme beaucoup, je me comparais :

  • “Je ne bois pas le matin, donc je ne suis pas alcoolique.”
  • “Il y a des gens qui boivent plus que moi, donc ça va.”

Mais ça, ce sont des excuses. La vraie question, c’est : est-ce que tu peux t’en passer facilement ?

Moi, la réponse était non. Et peut-être que pour toi aussi, ce n’est pas si simple.

Voici les signes qui m’ont mis la puce à l’oreille :

  • Un sommeil de mauvaise qualité, même après 7 ou 8 heures.
  • Des réveils lourds, comme si j’avais la tête dans du coton.
  • Une irritabilité grandissante, moins de patience avec les autres.
  • Des kilos qui s’installent sans prévenir.
  • Et surtout, ce brouillard mental, cette perte de clarté et de créativité.

Est-ce que tu ressens certaines de ces choses ? Parce que c’est souvent subtil : on croit que c’est “juste la fatigue” ou “le stress du boulot”. Mais en réalité, l’alcool est bien souvent un des gros responsables.

Pourquoi arrêter l’alcool seul est si difficile

Comme toi peut-être, j’ai cru que c’était uniquement une question de volonté. Je me disais : “Il suffit que je tienne bon.” Alors j’ai essayé. Encore et encore.

Le problème, c’est que tenir demande une énergie énorme. Et quand tu es déjà vidé par ton travail, tes responsabilités, ta famille, cette énergie n’est pas infinie. Alors, le soir venu, il suffit d’une petite pensée : “Allez, juste un verre pour souffler.” Et tout recommence.

Tu vois, ce n’est pas une question de faiblesse ni de manque de courage. C’est une question de cerveau. L’alcool agit directement sur la dopamine, ce neurotransmetteur qui régule ta motivation, ton plaisir, ton énergie. Quand tu bois, tu envoies un shoot artificiel de plaisir à ton cerveau. Résultat : le reste te paraît fade.

Une soirée sans verre te semble triste. Une fin de journée sans alcool paraît incomplète. Et c’est comme ça que tu restes coincé dans le piège.

Pourquoi un coach sobriété peut faire la différence

Si tu as déjà essayé d’arrêter l’alcool seul, tu sais que ce n’est pas qu’une question de volonté. Tu commences motivé, puis au bout de quelques jours, une petite pensée te traverse : “Un verre, ça ne change rien.” Et tu repars.

Moi aussi, j’ai vécu ça. Et crois-moi, ce n’est pas parce que tu manques de force. C’est parce que ton cerveau est piégé dans un mécanisme bien plus puissant que ta volonté.

C’est là qu’intervient le rôle d’un coach en sobriété. Pas pour “te fliquer” ou te juger, mais pour te montrer ce que tu ne vois pas encore. Un coach, c’est quelqu’un qui t’aide à comprendre ce qui se passe dans ta tête et dans ton corps quand tu bois. Parce que quand tu comprends vraiment le mécanisme, tu n’as plus besoin de lutter.

Et c’est ça qui change tout : tu ne subis plus. Tu reprends le contrôle.

Pourquoi la volonté seule ne suffit pas pour arrêter de boire

Imagine que tu essaies de gravir l’Everest en espadrilles. Tu peux avoir la meilleure motivation du monde, tu n’arriveras jamais en haut. Il te faut l’équipement adapté.

Arrêter l’alcool, c’est pareil. Tu peux tenir quelques jours à la force du mental, mais sans comprendre le piège, tu finis toujours par rechuter.

Tu vois, ce n’est pas toi le problème. C’est la méthode.

Ce qui se passe vraiment dans ton cerveau quand tu bois

L’alcool agit directement sur ton cerveau, et plus précisément sur la dopamine. La dopamine, c’est ce petit messager qui te donne la motivation, l’envie de faire des choses, le plaisir de vivre.

Quand tu bois, l’alcool provoque un pic de dopamine artificiel. Ton cerveau enregistre : “Ah, ça, c’est bien, ça me détend, je veux recommencer.” Le problème, c’est qu’après ce pic, le niveau de dopamine retombe… plus bas qu’avant. Résultat : tu te sens plus fatigué, plus irritable, plus démotivé. Et pour retrouver un peu d’énergie, tu recommences à boire.

C’est un cercle vicieux. Et tant que tu n’as pas compris ça, tu crois que c’est toi qui manques de volonté. Alors qu’en fait, c’est juste ton cerveau qui fonctionne normalement face à une substance qui le manipule.

Les effets de l’alcool sur ton corps

Et le cerveau n’est pas le seul concerné. L’alcool impacte aussi ton corps de manière sournoise :

  • Le sommeil : tu t’endors plus vite après avoir bu, mais ton sommeil est fragmenté, moins profond. C’est pour ça que tu te réveilles fatigué.
  • Le poids : l’alcool est rempli de calories vides. Un seul verre de vin, c’est environ 120 calories. Tu imagines le cumul chaque semaine.
  • L’énergie : ton foie et ton corps entier doivent travailler dur pour éliminer l’alcool. Résultat : tu te sens lourd, vidé, parfois même anxieux.
  • La santé : hypertension, problèmes digestifs, baisse d’immunité… même quand tu n’as pas l’impression de “trop boire”, les effets sont là.

Peut-être que tu as déjà remarqué certains de ces signes. Et si tu les ignores, c’est normal : moi aussi, j’ai mis longtemps avant de relier mes insomnies et ma fatigue à l’alcool.

Pourquoi c’est si difficile de s’en passer dans certaines situations

Tu l’as sûrement déjà remarqué : l’envie de boire n’arrive pas n’importe quand. Elle se déclenche dans des contextes bien précis :

  • Le soir en rentrant, pour décompresser.
  • En soirée, pour “faire comme les autres.”
  • Le week-end, pour “profiter.”

Et parfois, c’est même lié à une émotion : le stress, la solitude, l’ennui.

Moi, j’ai compris que tant que je ne travaillais pas sur ces déclencheurs, j’aurais toujours une bataille à mener. Un coach sobriété t’aide justement à identifier ces moments et à voir clair dans ces mécanismes. Parce qu’une fois que tu les vois, tu n’es plus leur victime.

Ce que tu gagnes quand tu arrêtes l’alcool

Arrêter l’alcool, ce n’est pas perdre quelque chose. C’est en réalité tout l’inverse. Quand tu sors de l’alcoolisme, même sous sa forme “douce” ou cachée, tu gagnes énormément :

  • Des nuits vraiment réparatrices.
  • Une énergie qui revient naturellement.
  • Une patience et une clarté mentale que tu croyais perdues.
  • La fierté de ne plus avoir ce poids dans ta vie.

Je te le dis franchement : au départ, j’avais peur que la vie sans alcool soit triste, monotone. En réalité, c’est tout l’inverse. Quand ton cerveau n’est plus parasité, tu redécouvres des plaisirs simples : un bon repas, une soirée entre amis, même un simple matin sans gueule de bois.

Pourquoi je me suis tourné vers le coaching sobriété

Après avoir arrêté, je me suis dit : “Je ne peux pas garder ça pour moi.” Parce que si moi, cadre puis entrepreneur, père de famille, j’ai pu me faire piéger sans m’en rendre compte, combien d’autres sont dans la même situation ?

J’ai donc décidé de devenir coach sobriété. J’accompagne surtout des entrepreneurs, des indépendants, des cadres… parce que je sais qu’ils n’oseront pas pousser la porte d’un groupe de parole ou partir en cure. Mais je travaille aussi avec des personnes qui n’entrent pas dans ces catégories, parce que le besoin est le même : se libérer de l’alcool, retrouver sa liberté.

Et si je fais ça, c’est parce que je sais ce que tu ressens. Cette lutte intérieure, cette envie de changer mais aussi cette peur que ce soit trop dur. Moi aussi, je suis passé par là.

Les bénéfices concrets quand tu arrêtes l’alcool

On pense souvent qu’arrêter l’alcool, c’est renoncer. Renoncer aux soirées, au plaisir, à la détente. Moi aussi, je le croyais. Mais la vérité, c’est que tu ne perds rien. Tu gagnes tout.

Dès que tu te libères de l’alcool, les changements arrivent plus vite que tu ne l’imagines. Certains sont visibles en quelques jours, d’autres se révèlent sur des semaines ou des mois. Mais tous vont dans la même direction : vers plus de liberté, plus d’énergie, plus de clarté.

1. Un sommeil vraiment réparateur

C’est souvent le premier bénéfice que mes clients ressentent. Peut-être que toi aussi, tu connais ce réveil avec la tête lourde, même si tu n’as pas “abusé”. Quand tu arrêtes, tu redécouvres ce que ça fait de dormir d’un vrai sommeil profond. Te réveiller reposé, c’est un luxe qu’on oublie… jusqu’à ce qu’on le retrouve.

2. Une énergie naturelle qui revient

Finis les coups de mou permanents, cette impression de traîner ton corps. Ton énergie revient parce que ton organisme n’est plus occupé à éliminer l’alcool. Ça change ton quotidien : tu te lèves plus facilement, tu es plus efficace, plus disponible pour les autres.

3. Un corps qui se transforme

L’alcool, ce sont des calories vides. Tu ne t’en rends pas compte, mais une bouteille de vin, c’est comme un gros repas en plus. Alors quand tu arrêtes, ton poids commence naturellement à se rééquilibrer. Tu n’as rien à forcer, c’est ton corps qui reprend sa place.

4. Une clarté mentale retrouvée

Je crois que c’est l’un des bénéfices les plus puissants. Sans alcool, ton cerveau arrête de fonctionner au ralenti. Les idées deviennent plus claires, tu prends de meilleures décisions, tu es plus créatif. C’est comme si tu passais en “haute définition”.

5. Plus de patience et de présence

L’alcool rend irritable, impatient, moins tolérant. Sans t’en rendre compte, il abîme tes relations. Quand tu arrêtes, tu redeviens disponible pour les autres. Tu écoutes mieux, tu profites vraiment des moments en famille, tu n’es plus ailleurs dans ta tête.

Les profils que j’accompagne

Avec le temps, j’ai remarqué qu’il y a des points communs entre les personnes qui viennent vers moi. Et peut-être que tu vas te reconnaître dans ce que je vais décrire.

Les entrepreneurs et indépendants

Ils portent une charge énorme. Leur entreprise, leurs clients, leur équipe. Pas le droit de flancher. Alors l’alcool devient un échappatoire du soir, une façon de couper. Mais au fil du temps, ça les ronge de l’intérieur. Beaucoup me disent : “Je ne peux pas aller en cure, je ne peux pas disparaître pendant trois semaines.” Eux, ils ont besoin d’une autre voie.

Les cadres et professions libérales

Toujours sollicités, connectés, responsables. L’alcool devient la soupape pour tenir le rythme. Mais en réalité, ça les affaiblit. Moins de sommeil, moins de performance, moins de patience. Et ils finissent par sentir qu’ils sont en train de perdre ce qui fait leur force.

Les parents débordés

Ils veulent être présents pour leurs enfants, mais le soir, ils ouvrent une bouteille “pour souffler”. Et petit à petit, ça devient un rituel. Jusqu’au jour où ils se disent : “Qu’est-ce que je suis en train de montrer à mes enfants ?”

Ceux qui en ont “marre de marre”

Peu importe leur statut, ce sont des personnes qui en ont assez de subir. Elles savent que l’alcool ne leur apporte plus rien. Elles veulent retrouver leur liberté, leur énergie, leur dignité.

Peut-être que toi, tu te reconnais dans un de ces profils. Si c’est le cas, sache une chose : tu n’es pas seul, et surtout, tu n’as pas besoin de descendre au fond du trou pour changer.

Pourquoi ce choix change une vie

Arrêter l’alcool, ce n’est pas seulement une décision de santé. C’est un vrai tournant de vie.

Tu redeviens maître de tes choix

Tant que l’alcool est là, il y a une petite voix dans ta tête qui t’influence. “Allez, juste un verre.” Quand tu t’en libères, cette voix disparaît. Tu reprends 100 % de tes décisions.

Tu retrouves du temps

Le temps que tu perdais à boire, à récupérer, à ruminer. Ce temps-là, tu le réinvestis dans ce qui compte vraiment : tes projets, tes proches, toi-même.

Tu gagnes en confiance

Chaque jour sans alcool est une victoire. Et au fil du temps, cette confiance grandit. Tu te prouves que tu es capable. Et cette confiance déborde dans tous les autres domaines de ta vie.

Tu redonnes du sens à ton quotidien

Sans ce rituel imposé par l’alcool, tu redécouvres ce qui te fait vraiment vibrer. Sport, lecture, projets pros, moments avec tes proches… Tout reprend une saveur plus authentique.

Et toi, où en es-tu ?

Peut-être que tu es encore dans l’hésitation. Une partie de toi veut arrêter, mais une autre a peur. Peur que la vie soit triste sans alcool. Peur de ne pas tenir.

Je comprends. Moi aussi, je me suis posé ces questions. Mais ce que je peux te dire, c’est que ces peurs disparaissent dès que tu as la bonne méthode. Parce qu’arrêter, ce n’est pas une punition. C’est une libération.

Et si tu lis encore ces lignes, c’est que toi aussi, tu ressens déjà cette envie de te libérer. Sinon, tu aurais déjà fermé cette page.

Comment passer de l’envie au vrai changement

Tu sais maintenant que l’alcool n’est pas ton allié. Tu sais qu’il ne t’apporte rien de solide, rien de durable. Mais entre savoir et agir, il y a toujours un écart.

Cet écart, je l’ai vécu moi aussi. Je savais que l’alcool me fatiguait, qu’il me volait mon sommeil, qu’il m’empêchait d’être pleinement présent pour mes proches. Et pourtant, je continuais. Parce que dans ma tête, arrêter paraissait insurmontable.

Et peut-être que toi aussi, tu ressens ça. Tu as envie de t’en libérer, mais tu ne sais pas par où commencer. Tu as déjà essayé, peut-être plusieurs fois. Tu as tenu quelques jours, parfois quelques semaines. Mais à chaque fois, une petite voix te dit : “Allez, juste un verre…”

Cette voix, je la connais bien. C’est exactement elle que j’aide mes clients à faire taire.

Pourquoi un accompagnement change tout

Tu pourrais continuer à essayer seul. C’est possible. Mais ce sera souvent long, fatigant, plein de rechutes.

Un accompagnement, ce n’est pas une baguette magique. Mais c’est une méthode, une structure, un soutien. C’est avoir quelqu’un qui a déjà traversé ce chemin, qui sait où sont les pièges, et qui peut t’éviter de tomber dedans.

Un coach sobriété, ce n’est pas quelqu’un qui te dit quoi faire. C’est quelqu’un qui te montre pourquoi tu n’as plus besoin de boire. Qui te fait voir l’alcool tel qu’il est vraiment : un piège, pas un plaisir.

Et crois-moi : quand tu le vois clairement, tu n’as plus besoin de lutter. L’alcool ne t’attire plus. Tu es libre.

Ce que tu gagnes en décidant maintenant

Je ne vais pas tourner autour du pot : si tu attends, rien ne changera. L’alcool ne disparaît pas par magie. Il prend toujours plus de place, il grignote ton énergie, ta santé, tes relations.

Mais si tu décides maintenant, tu peux enclencher un vrai mouvement. Tu peux te donner la chance de retrouver :

  • Des nuits réparatrices, qui te rechargent vraiment.
  • Une énergie naturelle, sans dépendre d’aucune substance.
  • Une clarté mentale pour avancer dans tes projets.
  • La fierté de montrer l’exemple, à tes proches comme à toi-même.

Tu n’as pas besoin d’attendre le “fond du trou” pour agir. Tu n’as pas besoin de te considérer comme alcoolique pour avoir le droit de changer. Si tu sens que l’alcool a pris trop de place, c’est déjà suffisant.

Le témoignage qui a inspiré cet article

Si cet article existe, c’est parce qu’il est issu d’une interview où j’ai raconté mon parcours, mes erreurs, et ce que j’ai appris en chemin.

Tu peux la retrouver ici : Voir l’interview sur YouTube

Tu verras que je ne parle pas de théorie abstraite. Je parle de vécu, de concret. Parce que je sais que tu n’as pas besoin de grands discours, mais d’un chemin clair pour avancer.

La vraie question : es-tu prêt ?

Tout ce que tu viens de lire, je le dis avec sincérité. Mais la vérité, c’est que ça ne changera rien si tu restes simple lecteur.

La vraie différence, elle se fait quand tu passes à l’action. Quand tu décides de dire : “Ok, cette fois, j’arrête de subir. Je veux reprendre le contrôle.”

Et si tu ressens cette envie, même un peu, même si elle est encore fragile, alors tu tiens déjà le début du fil. Il te reste à tirer dessus.

Mon rôle, si tu le veux

Je ne suis pas là pour te juger. Je ne suis pas là pour te dire que tu dois faire ci ou ça. Je suis là pour t’accompagner, si tu veux avancer plus vite, plus sereinement, avec une méthode qui marche.

J’ai conçu un accompagnement qui a déjà aidé des entrepreneurs, des cadres, des parents, des indépendants. Des personnes qui pensaient, comme toi peut-être, qu’arrêter serait trop dur, trop triste, trop contraignant.

Aujourd’hui, elles me disent toutes la même chose : “Je n’ai pas l’impression d’avoir perdu quelque chose. J’ai l’impression d’avoir retrouvé ma vie.”

Et c’est exactement ce que je veux pour toi.

Conclusion : se libérer de l’alcool, c’est possible pour toi aussi

Si tu es encore en train de lire, c’est que le sujet résonne en toi. Alors je veux te laisser avec cette certitude : tu n’es pas obligé de continuer comme ça. Tu n’es pas obligé de rester enfermé dans ce rituel qui t’épuise.

Tu peux sortir de l’alcoolisme, qu’il soit visible ou caché. Tu peux te libérer de l’alcool, sans lutte, sans souffrance, sans te couper du monde.

Et si tu veux me contacter pour en parler, je t’invite à regarder ici : https://link.go.unansansalcool.com/bilan

Ensuite, ce sera à toi de décider : continuer comme avant, ou avancer vers une vie plus claire, plus libre, plus alignée avec la personne que tu veux être.

Prends soin de toi,
Vraiment,
Sylvain Rouget


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arrêter de boire, Arrêter l'alcool, interview, podcast


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